Le Mandat constitutionnellement immérité du pouvoir Kabilo-Nazi as touché son terme le 19.12.2016 ; et le mal se révélé dans sa vrai nature. Il ne s’agit pas d’un état d’occupation comme cela semblerait mais plutôt d’une prise en otage d’un état, d’une population comme cela avait été fait par Hitler dans les champs des concentrations Nazi ; a l’exception que cette fois-ci, le pays tout entier a été transformé en un champ de concentration tellement grand que cette même réalité d’emprisonnement se confond avec la vie de tout le jour ; en outre, dans un Alcatraz Kabilo-Nazi moderne juste sous le nez de tout le monde.
Contrairement aux juifs en Allemagne, les congolais sont chez eux et nous ne pouvons tolérer telle situation.
Cette prise de conscience évoque aussi des modalités nouvelles de lutte et de libération. Dans l’antiquité romaine et grecque, les dieux retenues inopportun et dont le culte est dépassé, étaient oublier ; moi j’appelle ça un boycottage.
Boycotter une ligne de super marché est une chose connue et facile à exécuter, mais boycotter un pouvoir Nazi est tout autre chose ; cet article veut mettre en ligne un principe de désobéissance populaire comme déjà réalisé durant l’occupation belge par nos ancêtres.
Les instituions en force au Congo ne sont pas l’expression de la volonté populaire ; en effet ils sont des émanations d’une volonté Nazi et destructeur, et en aucun cas, ces derniers visent l’évolution et l’émancipation de la personnalité congolaise comme la maturation de ses potentialités.
En tant que tels, ils ne sont pas à respecter ; il ne s’agit même pas d’une désobéissance civique mais plutôt d’une lutte positive e constructive représentative de la volonté populaire.
Obéir à un tel pouvoir est une soumission consciente et une session de la souveraineté territoriale.
Un boycottage de tous les espaces et expressions de l’appareil nazi est un devoir civique.
Il ne s’agit pas d’une manifestation agressive mais consciente de l’expression de l’identité d’une nation en voie de disparition.
Nous devons venir ensemble pour sauver ce grand mourant qui s’appelle Kongo, le Kongo de nos ancêtres.
Aujourd’hui 20.12.2016, à l’heure même ou je suis en train d’écrire cet article, mes sources à partir de Kinshasa me référent que les affrontements entre la police armés, les forces Nazi propre au régime Kabila et la population sont en cour. Les forces de terreur Nazi utilisent des armes de guerre sur une population non armés qui avec seul moyen de défense utilise des pierres pour défendre leur vie et celle de leur famille. Comme nous l’avons vu en Libye, ce peuple désespéré fait recoure à son aptitude physique pour défendre son territoire, son identité, son futur et la vie de ses enfants en combattant les fusils, rocket et mortiers à main nus.
Ceci est une démonstration claire que le peuple congolais est aujourd’hui un peuple mature décidé à se battre pour la liberté au pris de sa propre vie. Cette démonstration est un refus et un premier pas vers le boycottage du pouvoir Nazis en expansion sur le continent noir.
Comme avancé dans deux articles précédents[1], qui traitent de ce sujet, le boycottage ou la désobéissance civile à l’autorité Nazi est une voie a exploré avec conscience.
L’Alternative n’est pas un partis politique qui est à la quête du pouvoir à travers la gestion territoriale, l’alternative est dans l’élaboration d’une pensé et d’une philosophie nouvelle capable d’élever les consciences individuels et intégré de manière effective la vision communautaire axée sur le développement mutuels et non l’accumulation des richesses et des privilèges des uns au profit des autres.
Pour y arriver, nous avons besoin d’une très grande quantité de force mentale non contaminée par l’illusion d’un pouvoir phallique, et d’une vision communautaire du futur lequel met l’identité populaire au centre des intérêts et de la politique.
Un des vices de la démarche de la politique congolaise est la notion non théorique mais plutôt pratique du Mobutisme ; ou le chef de l’Etat ; l’individu Mobutu incarne par sa volonté le trois pouvoir des institutions à savoir, le pouvoir législatif, le pouvoir judiciaire et le pouvoir exécutif. Cette pensé politique a été la colonne vertébrale du Mouvement Populaire pour la révolution lequel de part son application mériterais la dénomination : Mouvement Mobutiste pour la Révolution ou la domination d’un secteur tribale sur toute l’étendue du territoire nationale (Le Pouvoir temporel Mobutiste). Cette pensé ou philosophie politique sportive a formé les différentes générations des classes d’individus opérantes aujourd’hui dans tout les domaines de la vie publique, sociale et privé.
Ce vice avait pavé le chemin pour la renaissance du Nazisme sous une forme méconnus au Congo resté non démocratique.
Les différences de territoires et la distance tant dans le temps que dans l’espace a l’Allemagne ne doit pas plus nous plongé dans l’erreur ; le système de soumission de la volonté populaire et individuel au Congo n’as autre appellation que le Nazi
Ce model de Néonazisme peut encore être dans une étape embryonnaire mais ses capacités dévastatrices se sont démontrés à la hauteur de l’expression Nazi.
Kinkela Wa Ma Zulu
[1] L’ombre du fascisme en République Non Démocratique du Congo, de Kinkela Wa Ma Zulu, https://kinkelawamazulu.com/2016/12/20/lombre-du-fascisme-en-republique-non-democratique-du-congo/ et La République Démocratique du Congo sous la domination brigantins fasciste, de Kinkela Wa Ma Zulu, https://kinkelawamazulu.com/2016/12/19/la-republique-democratique-du-congo-sous-la-domination-brigantins-fasciste/ .
* Cet article est écrit pour réveiller la conscience politique Congolaise dormant et invite votre participation.
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