HAUTE TRAHISON AU CONGO

 

La haute trahison du peuple congolais et de la résistance du peuple  par la politique des grands salons et une opposition  à la quête du pouvoir et des privilèges

 Un vieux adage dit que le vraie pouvoir est celui de faire non celui sur les autres, cependant pour vrai qu’il soit en République Non démocratique du Congo, le contraire se définit a grand titre comme une pratique morale. La quête du pouvoir par tout moyen est une expression de la perte de l’humanité devenu prédateur de soit même.

Le Marechal Mobutu avait une fois dit qu’au Zaïre  des opposants n’existaient pas, qu’ils s’agissaient tout simplement des ventres affamés  avec une grande popularité ; a distance des années les mêmes mots et la même vérité fait de nouveau  surface par rapport au nouveau gouvernement Kabila dans l’exercice d’un mandat non existant.

En effet, le représentant du réseau Nazi international au Congo Joseph Kabila as refusé de descendre de la présence qu’il s’était octroyer comme droit de succession à la mort de son père Laurent Désiré Kabila ; grâce à la collaboration des personnalités du régime Mobutiste de grande envergure comme Mokoko Apombo, Atundu Liongo et beaucoup d’autre hiérarques qui avaient garanti la continuité, l’efficacité dans la répression de l’auto affirmation du régime Mobutiste.

    

Kabila fils, héritier illégitime a un trône inexistant a su aussi a l’instar de son guru maintenir le pouvoir sur deux mandat fait des répressions et dévastations des richesses du territoire congolais pour renforcer et souvenir les objectifs nazis que tout le monde croit mort dans le noir.

Je le répète encore ceux qui pensent que la Nazis soit une réalité européenne du passé sont dans l’erreur ; en effet il est aujourd’hui puis puissant que jamais et son arme le plus puissant malgré toute sa puissance reste que le fait qu’il soit officiellement mort en 1945.

Il as prospéré dans le noir fort de son symbolisme du soleil noir (SS) porté sur les uniformes Nazis et assume des formes divers insoupçonnable….

Comme au temps du M.P.R (Mouvement Populaire de la Révolution) partis personnelle de Mobutu Sese Seko, l’opposition était tout simplement de la mascarade ; un jeu bien conçu pour distraire les consciences en maintenant une illusion duale d’où d’un coté nous avions le pouvoir en place et de l’autre coté l’opposition qui en réalité sont au service d’un pouvoir obscur et peu connus jusqu’à nos jours.

Le Marechal  Mobutu avait reconnus cet ‘état  de chose et  définissaient les opposants comme des ventres affamés travaillant pour leur propre intérêt personnel sans aucun sens de la nation et amour de la patrie ; des courtisant de court sans moral.

      

Nous avons tous vus comment les grandes figures de l’opposition a Mobutu comme nguza karl-i-bond avait changé de champ quand le maréchal lui offrit un siège comme ministre dans son administration ou comme beaucoup d’autres source ont révélées Tshisekedi comme un pion d’une section de l’administration Américaine  avec agenda mettre dévier les rapport privilégié entretenu par le pouvoir Mobutu avec la Belgique ; il est a signalé dans l’Héritage politique du Mobutiste post coloniale, ces situations sont devenus une normalités.

Une analyse historique simple et élémentaire nous permet de réaliser comment la politique du Congo-Zaire a été gérée depuis la  deuxième phase de la colonisation.

Quand nous remontons le fils du temps et nous nous retrouvons le 22 Décembre 2016 ; cette même réalité refait surface dans un cadre sans précédence du point de vue de la désolation de la population encore inconsciente et qui a milité derrière des  leaders en cartons de l’opposition congolaise.

Le gouvernement Kabila en effet est composé pour une très grande partie des intimes, et proches parents du leader de l’opposition Félix Tshisekedi.

Dans l’intestin d’un gouvernement occulte,  ceux pensent être les maitres du peuple congolais sous occupation Nazi noir.

Cette réalité peut sembler  difficile a digéré surtout pour le congolais entrainé a une politique sentimental, folklorique et fanatique plutôt que objectif, intellectuel  avec  des base idéologique, morale et philosophique.

La politique peut être perçu comme du théâtre mais  pas du folklore ou du populisme ou fanatisme ; le jeu as était assez simple mettre le sien selon les accords du partage du pouvoir pris  pour remplir sa fin de pouvoir et faire le semblant de rester dans l’opposition pour maintenir le peuple dans l’ignorance ; la chose la plus grave est qu’il s’agit d’une manœuvre avec des capacités de réussite non négligeable vus l’histoire politique de cette région.

Pour la vraie opposition, fait des intellectuel  avec  un véritable sens civique, morale et amour de patrie, nous dénonçons une trahison, et cette dernière devrait marqué la fin de la politique trompeuse des chambres du pouvoir et de l’opposition conspiratrice  de l’histoire du Congo-Zaire.

 Nous avons besoin d’une nouvelle génération dans les rangs de l’administration du pays ; nous avons besoin d’une nouvelle classe politique orientée par une véritable philosophie et idéologie politique mettant la nation et la citoyenneté au centre des intérêts.

L’échec consommée  avec le pouvoir Kabilo Nazi qui prend en otage le territoire et le peuple congolais n’est pas du tout une défaite du peuple mais plutôt la fin d’un cycle politique malade, corrompis et envouté par la soif du pouvoir, une soif qui as rongé leur âmes et détruit toute humanité en eux.

La politique que nous avons été témoins dans les deux derniers mandats présidentiel Kabila est l’effet miroir de cette réalité honteuse et dangereuse pour l’avenir du peuple Congolais en particulier et des peuple de l’Afrique en générale.

Une nouvelle classe politique est appelé a prendre la relève et a libéré le grand pays de l’emprise Nazis pour la donné une nouvelle direction et aspiration pour la croissance et le bien être de l’identité nationale et territoriale.

 Ce destin du la nation congolaise se joue en ce temps précis et pour lequel nous avons deux  voies de sortis, ou la libération par le changement totale de la classe politique et  d’une reforme social dans la conception des mœurs, morale et sens civique ou le retour à l’esclavage pour lequel  la classe politique actuel travaille dans le secret et dans l’indiscrétion du peuple occupé a s’occuper quoi manger demain et comment survivre et cette dernière indication est valide soit pour les congolais dans le territoire nationale qu’a l’étrangers.

                                                                                                                                   Kinkela Wa Ma Zulu

 

* Cet article est écrit pour réveiller la conscience politique Congolaise dormant et invite votre participation.

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