Avant de parlé de la destruction de l’Afrique, nous devons faire le point sur l’histoire non connu de l’Afrique noir et de la danse des civilisations.
En parlant des civilisations, il est nécessaire comprendre l’histoire de l’immigration, de l’immigration
Antique. Aujourd’hui l’homme ou le peuple noir r est sous une telle pression que la seule voie de sortis semble la mort.
L’histoire des civilisations noires est une voie intéressante a parcourir pour comprendre la situation actuelle et sur ce point même un grand obstacle se dresse ; celui du conditionnement culturel coloniale. La colonisation en tant que système as un éthique et son application produit une culture a deux vitesse ou je dirais sur deux plan. Celui des colonisés et des colonisateurs.
Quand nous parlons de la colonisation, je vais signalé que nous avons commencé le sujet a moitié du chemin. L’histoire migratoire africaine non officielle remonte un des événements majeur de la migration africaine autour des 250000 ans avant l’événement de la chrétienté.
L’histoire de l’Antiquité noir d’Abzu (le premier donné à l’Afrique) remonte a des millions des années mais un des premiers événements avec une incidence majeur sur ce continent se déroulent autour de 450.000 ans avant l’ère chrétienne et de début de la civilisation humaine se déroule en Sumer pour ensuite se déplacé vers le territoire appelé Egypte, territoire sous le control du Marduk, fils ainé de Enki, le seigneur de terres du sud et le Ra de la tradition Egyptienne.
L’expression ABZU qui va donné naissance aux dénominations Abantu et puis transformé en Bantu et Zulu comme deux souches ethnique Africain d’origine signifie la terre des minerais, ou le temple de l’or. Ce nom avait été donné en raison de sa nature géologique.
Les expressions Abantu, ou bantu tout comme zulu étaient pour indiqué ceux qui travaille, transforme les minerais, en occurrence l’or pour les premiers colonisateurs venus d’un autre monde et ceux derniers étaient appelés les Anunaki.
Parlé des Anunaki n’est pas un argument facile parce que la plupart de nous n’en as jamais entendu parler et surtout parce que nous avons été enseigné une fausse histoire.
Nous avons été forcés à l’école du colonisateur pour devenir ses outils et surtout pour être maintenu dans l’ignorance.
La colonisation intervient en Afrique après l’esclavage pour ce que nous connaissons ; les résultats d’étude historique non conventionnelle , des fouilles archéologiques, nous permettent aujourd’hui d’affirmé que l’esclavage est le plus vieux système politique du monde.
Comme nous l’avons découvert par les études du génie Check Anta Diop que l’Afrique aussi avait une pratique esclavagiste bien différente du modèle occidental ; ce qui est ici important comprendre est que cette pratique exister, nous pouvons dire selon une modalité interraciale ou disons interterritoriale.
L’invasion et l’occupation Arabe de l’Afrique (Abzu) du nord par les peuples Arabes en (-647) suivit par celle occidentale au quinzième siècle va réintroduire un antique model d’esclavage, la Traite.
Et avec la traite des noirs africaine, nous sommes au deuxième événement migratoire majeur de l’Afrique. Les peuples ou les nations africaines que nous connaissons aujourd’hui sont les fruits de cette réalité.
Mais tout ce qui se passe en Afrique en cette période ancienne n’est pas le fruit d’un hasard mais plutôt le résultat d’une planification bien conçu, et porté au but.
Il est important réalisé l’ampleur du contrôle en Afrique et des noirs ; le contrôle mentale auquel ont été soumis les noirs depuis la toute première invasion Arabe ont aujourd’hui mis leur racines dans l’âme noir même.
Je vais dire ici que la réalité noire actuelle est un résultat, prévu ; la question qui aujourd’hui est celui de pouvoir comprendre dans quelle direction nous sommes.
Pourquoi somme-nous ce que nous sommes et à qui et comment cette situation profite-t-elle et surtout a qui ? Certes nombreux sont ceux qui vont passer avoir une réponse a ces questions mais ici je vous invite a un examen profond sur la question.
Un point de départ est que l’Afrique n’est pas un produit des africains et par conséquent ne peut servir son intérêt, dernièrement nous avons souvent entendu dire que l’Afrique est le future du monde ; nous y avons compris que finalement le sort de l’Afrique allait changer et que les africains finalement allé retourner à la gloire des anciennes civilisations noire d’Afrique.
Jour après jour cet enthousiasme est entrain de mourir, car nous n’avons pas compris que le destin de l’Afrique a été dessiné sans Africain.
L’Afrique noir post coloniale avait été ingénieusement crée pour succombé et aujourd’hui le compte a rebours as été amorcé.
L’Afrique qui meurt c’est l’Afrique coloniale, en verité ce n’est pas l’Afrique qui est entrain de mourir mais plutôt qu’il a cru sien qui est entrain de mourir car arrivé à la fin de sa vie hybride ; cependant le problème qui se pose est que si l’Africain ne se réveille pas de son rêve, alors, il risque de mourir aussi.
Au début, j’ai parlé de l’identité noir brisé, fragmenté c’est vrai mais il s’agit plutôt d’un point de vue superficielle et passagère car l’être existe de part le principe de sa profondeur. Je vais ici que par principe thermodynamique, cette fragmentation est seulement superficielle et que si nous en somme victime seulement et seulement si nous vivons sur la superficie de notre condition d’être. Cette condition est l’identité.
L’identité est axé sur deux mesure, la première est microcosmique et le second macrocosmique et selon la principe quantique des fractale, sur notre échelle d’observation, notre identité microcosmique est notre escape d’interaction culturelle personnel et anti chambre de nos états et, notre identité macrocosmique espace d’interaction culturel collective qui par extension se veut village, tribut, nation, peuple et enfin civilisation.
L’identité est donné par la culture qui a son tour est un ensemble hétérogène des expériences, connaissances et observations, informations, principes, modalités et modèle qui ont déterminé l’évolution d’un peuple, d’une nation à travers son histoire.
Cette entité est restée à l’état latent dans le profondeur de notre âme et c’est le chemin pour que nous renaissons de nos cendres. En réalité ce qui as été construit sur nous pour nous maintenir dans l’ignorance qui est en train de mourir.
Il est vrai que notre monde est soumis a de forte pression mais ce n’est aucune pour que nous en mourrions mais plutôt pour que nous en sortons vainqueur.
Mais pour cela nous devons être préparé, nous devons être prêt a l’évolution, nous devons être prêt a mourir dans la falsifié de notre vie et renaitre dans la vérité.
Un article écrit par Kisisa-Kinkela Wa Ma Zulu, pour le retour de la conscience de l’or Congolese et Africaine.
AmasuBaba Kinkela Wa Ma Zulu Khufu Imhotep Akhenaton Ra Shango 